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Un petit tour dans le vaste Monde, une pause dans une salle de spectacles, un détour par la cuisine ou auprès du sapin de Noël ... deux ou trois créations … Bienvenue chez moi , agréable visite, et n'hésitez surtout pas à laisser un commentaire. Pour être informés des articles récents, n’oubliez pas de vous abonner. A bientôt.

LE SEIGNEUR DES ANNEAUX

Un Anneau pour les gouverner tous,   

Un Anneau pour les trouver,   

Un Anneau pour les amener tous et dans les ténèbres les lier.  

 

                                           Peter Jackson dans Le Seigneur des anneaux : la communauté de l'anneau (Affiche (autres))

 

 

 

  

 

 Au début  de la Trilogie, on découvre les paysages et les personnages de cette formidable aventure. 

 Le jeune hobbit Frodon Sacquet hérite, de son oncle, d'un anneau. Ce n'est pas un bijou ordinaire, , il s'agit de l'Anneau Unique, un instrument de pouvoir absolu qui permettrait à Sauron, le Seigneur des Ténébres règnant sur le  Mordor, de réduire à sa merci tous les peuples de la Terre du Milieu.

 

   Frodon va devoir soustraire l'anneau à la convoitise de Sauron, aidé dans sa mission par une communauté de huit fidèles compagnons, associés et parfois rivaux dans cette  quête : Gandalf, le Magicien ; Aragorn et Boromir les hommes, concurrents dans la revendication du pouvoir au Gondor, le premier étant l'héritier légitime du trône, le second fils de l'intendant actuel de la contrée ; puis Légolas, un elfe ; et son ennemi ancestral, Gimli, le nain des profondeurs, et enfin trois hobbits insouciants Sam, Pipin et Merry 

 La Communauté va devoir emporter l'Anneau à travers la Terre du Milieu jusqu'à la Montagne du Destin, lieu où il a été forgé, et là où il doit être détruit pour toujours.

 

   Livré à  lui-même le petit groupe va devoir lutter contre les Forces du Mal, sans cesse plus puissantes ; il va falloir aussi compter avec les tensions internes du groupe et la force de l'Anneau lui-même qui, cherchant à retrouver son maître maléfique, affaiblit son porteur, Frodon.

 La Communauté des neuf braves ne résistera pas  à ce premier opus, brisée par la mort ou la séparation.  

 La suite de l'aventure nous entraîne, à la suite de Frodon et Sam, vers le Mordor de plus en plus menaçant. Sur leur route, ils rencontrent Gollum, une créature monstrueuse, sans âge, autrefois porteur de l'anneau et convoitant toujours « son précieux », qui va les guider sans renoncer à son intention de récupérer son bien tout en précipitant Frodon dans les griffes de Sauron

Les autres rescapés, Aragorn, Légolas et Gimli, tentent de retrouver leurs compagnons hobbits survivants, enlevés par les créatures à la solde de Sauron. Pour cela, ils s'adjoindront, non sans mal, l'aide du roi du Rohan, un temps tombé sous la coupe de Langue de Serpent, un conseiller sorcier manipulé par le magicien renégat, Saroumane.    

Les guerriers s'affronteront au gouffre de Helm, après que Gandalf soit revenu du monde des morts et Aragorn ait échappé à la mort, soutenu par l'image de celle qu'il aime, l'elfe Arwen.  

Venus pour maîtriser les traîtres Saroumane et Langue de Serpent, les survivants de la communauté retrouvent leurs amis hobbits Pipin et Merry, qui, aidés par le peuple des arbres et Sylvebarbe, leur chef, ont noyé le territoire et les armées de Saroumane.  

 

De leur côté, Frodon et Sam progressent vers le Mordor, mais le poids de l'anneau se fait de plus en plus pesant pour Frodon dont la personnalité se fond dans celle de l'anneau, sous l'oeil attentif et malveillant de Gollum qui les précipite dans un piège. C'est la fidélité et la persévérance de Sam qui évitera le pire à Frodon.

  

 En Terre du Milieu, Aragorn, qui est enfin parvenu à affronter ses vieux démons, triomphe et fédère les peuples ; une dernière mission reste à accomplir, retrouver Frondon et Sam, les libérer et s'assurer de la destruction de l'anneau.

 L'ultime bataille se déroule aux portes du Mordor, Sauron voit se dresser contre lui l'héritier d'Isildur qui l'avait anéanti autrefois, pendant que Frodon progresse péniblement dans la Montagne du Destin pour ramener l'anneau là où il a été créé et le détruire à jamais.

  
                                                        

  

 Le Seigneur des anneaux : les deux tours (Affiche)        Le Seigneur des anneaux : le retour du roi (Affiche)

 

 Cette page pour partager mon admiration pour cette oeuvre de

Peter JACKSON

 

 

Ne connaissant la trilogie que de nom, je n'avais pas d'inclinaison particulière pour cette histoire, partagée entre les échos admiratifs de ceux qui avaient adoré, et ceux qui n'avaient pas dépassé les cent premières pages, décontenancés par cette Terre du Milieu et ses peuples bizarres !   

 Pas beaucoup plus attirée par le matraquage des bandes annonces guerrières ; c'est en cinéphile curieuse et mère de famille soucieuse de suivre les coups de coeur de ses enfants que j'ai rencontré cette communauté.

                                       Elijah Wood, Peter Jackson dans Le Seigneur des anneaux : le retour du roi (Photo)

                                                             

    Le coup de foudre ! La première scène explicative passée, la Comtée  s'est déployée et j'ai été séduite par la beauté des images, la tendresse des personnages et l'histoire !  

 La précision de la mise en place des héros et des situations nous emporte  et on plonge immédiatement dans cette aventure ; on y croit et on ne s'étonne plus de rien.

 

De la trilogie, le premier volet reste mon préféré, peut être justement parce que c'est la découverte de ce monde, qu'on est émerveillé par la beauté naturelle de la Comtée, la grâce de Fondcomble, la majesté des paysages montagneux. 

 

Dans « La Communauté de l'Anneau » ,  on rencontre également les personnages auxquels on va s'attacher. Les deux autres épisodes n'auront pas ces qualités de découverte ; plus animés par les déploiements de batailles qui en sont les « morceaux de bravoure ».

 Mais l'ensemble est une passionnante histoire, dont les scénaristes adaptateurs ont su restituer l'essentiel (je suis venue à bout,  depuis,  des bouquins de Tolkien !!!) .  

 

 L'histoire, l'image, les paysages fabuleux de Nouvelle Zélande .   Mais aussi le souci du détail et surtout, surtout , la qualité du casting et de l'interprétation ..  mis à part Christopher LEE et son association aux personnages inquiétants, aucun des comédiens n'étaient « marqués » par leur carrière ... les principaux d'entre eux ont connu depuis la sortie des films une « explosion » de leur renommée. Orlando BLOOM est devenu incontournable au coeur des jeunes filles,  Viggo MORTENSEN, à la filmographie déjà importante, crève l'écran et assume maintenant les responsabilités de têtes d'affiche. Ian Mc KELLEN est maintenant reconnu et conforté par son rôle dans « DA VINCI CODE ». De même Elijah WOOD, n'est plus regardé comme un enfant comédien ! !. Et tous les autres dont on se dit maintenant « tiens, c'était untel dans le Seigneur des Anneaux" et qui nous sont devenus familiers.

  Le Seigneur des anneaux : le retour du roi (Affiche (autres))

                                                                                     

 

Pour ceux qui ont aimé cette fresque, la version longue est un véritable cadeau, offrant des scènes supplémentaires qui, si elles n'ajoutent rien d'essentiel au déroulement de l'histoire, affinent encore les personnages, et ajoutent des touches d'humour  ou d'émotion.

Enfin, les divers reportages, ou bonus des DVD, présentant les "making off" et autres coulisses de la réalisation sont des perles qui dévoilent (sans les démystifier) les étapes de la réalisation. Ce fut un émerveillement de voir avancer ce projet dans l'esprit de Peter JACKSON, de voir son investissement, la créativité de son équipe, les moyens mis en oeuvres, les bricolages improvisés ou au contraire les puissantes techniques ou machines mises au service de ces films. On reste fasciné par les créateurs des monstres, admiratifs devant le soin apporté à l'élaboration des costumes et des décors (toute la recherche autour de l'environnement d'un personnage ou d'un pays, c'est bluffant !!)

Et finalement, le résultat est magique, même après avoir eu les secrets révélés, on ne voit pas les ficelles et on est tout autant captivé par le film ... d'avantage encore car on sait qu'il se joue de nous et qu'on y voit que du feu , et on reste charmé par la beauté et la grande qualité des images, emporté par la densité de l'histoire et le fureur des combats, et surtout par la grâce générale confirmée par la fin.

 

 

 

 

 

 

 

 

   

 

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F
Merci pour cet article, il est vrai que tous ces points aident fortement!
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