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Un petit tour dans le vaste Monde, une pause dans une salle de spectacles, un détour par la cuisine ou auprès du sapin de Noël ... deux ou trois créations … Bienvenue chez moi , agréable visite, et n'hésitez surtout pas à laisser un commentaire. Pour être informés des articles récents, n’oubliez pas de vous abonner. A bientôt.

THE PLACE BEYOUND THE PINES

The Place UK poster

 

Luke se produit dans les fêtes foraines avec son spectacle de cascades à moto. Par hasard, il découvre qu’il est devenu père de famille. Loin de mépriser cette nouvelle inattendue, il souhaite s’impliquer dans l’éducation de son fils contre l’avis de son ex petite amie qui a refait sa vie avec un compagnon qui se comporte en vrai père avec cet enfant. Pour gâter son fils, Luke va chercher à gagner plus d’argent grâce à son talent de motard : il braque des banques et s’enfuit aussitôt, jamais rattrapé.  Mais l’affaire tourne mal quand il se retrouve poursuivi par Avery CROSS, un jeune policier intègre.

15 ans plus tard, les fils de ces hommes se croisent, ignorant tout de leurs histoires familiales.

 

Un film prenant en forme de triptyque ; bien qu’intimement liées, trois histoires nous sont racontées avec la surprise de la disparition très rapide de la tête d’affiche, ce qui est finalement assez déroutant.

 

Bonne histoire sur les thèmes de la paternité, de l’héritage et le poids de la responsabilité, filmée de façon assez classique par Derek CIANFRANCE, même si  la première partie est plus nerveuse que la seconde qui traine un peu en longueur.

J’ai de loin préféré les récits concernant les pères, bien mis en valeur ; les portraits des enfants frisant vite la caricature car si la démarche du fils de Luke est touchante ; les errances de l’enfant gâté d’Avery sont outrancières et indéfendables.

 

Un film d’hommes sur les hommes … la pauvre Eva MENDES ne joue que les utilités ! Le film est lancé par le charisme de Ryan GOSLING puis porté par le charme et la sincérité de Bradley COOPER. En ce qui concerne la jeune génération, Dane DEHAAN rend son personnage attachant, alors qu’ Emory COHEN  parvient à devenir parfaitement antipathique.

 

Un long film (2h20) qui mérite toutefois qu’on prenne le temps de s’y attarder.

 

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