LE FILS

Nuit polaire dans la région des fjords, un couple, dans la pénombre, attend … attend que le temps passe … attend qu’il se passe quelque chose, espère l’arrivée d’un bus, le passage d’un voisin, le retour d’un fils.

C’est sombre, tout est sombre, sombre comme la ter(rrrr)re …. C’est le leitmotiv de la pièce, c’est aussi l’ambiance générale ! ajoutez à cela un texte chiche, quatre phrases redites en boucle, un manque total d’intérêt et une grande capacité soporifique ; on sombre dans cette nuit polaire avec un ennui dont rien ne parvient à nous tirer : donc aucun intérêt dans cette situation stérile, ce texte creux, pas cerné la finalité de la démarche sinon la démonstration de la vanité d’existences vides ! Même l’interprétation de grands comédiens tels que Michel AUMONT ou Catherine HIEGEL n’a pas réussi à relever un tant soi peu l’attrait de cette morne soirée !

Un Prozac et au lit !