Un petit tour dans le vaste Monde, une pause dans une salle de spectacles, un détour par la cuisine ou auprès du sapin de Noël ... deux ou trois créations … Bienvenue chez moi , agréable visite, et n'hésitez surtout pas à laisser un commentaire. Pour être informés des articles récents, n’oubliez pas de vous abonner. A bientôt.
Version courte : Benjamin Gates est de retour ! Il cherche un trésor, assisté de ses amis, et de ses parents, concurrencé par un méchant, poursuivi par la police ... après moult aventures il le retrouvera et .....
Version longue : la guerre de Sécession vient de cesser ça c'est sûr, et l'arrière-arrière-grand-père de Benjamin est contacté pour déchiffrer un code, le même soir Abraham Lincoln est assassiné, reliant ainsi les deux hommes.
Son aïeul se trouvant exposé, la famille Gates va essayer de le réhabiliter en découvrant le trésor caché ... à Washington, Paris, Londres, jusqu'au Mont Rushmore ; le petit poucet, bien organisé, a semé des indices, mais rien ne résiste à la perspicacité du héros.
Beaucoup d'efforts pour pas grand chose ; ou comment un éléphant accouche d'une souris !!!! Ca se laisse regarder mais on est finalement assez déçus.
Certes, il y a beaucoup d'idées (mais où sont-ils allés chercher tout ça !!!) c'est le grand bazar de la course aux indices (mais trop c'est trop !!), mais tout est trop simple (ou trop compliqué) - ou Benjamin Gates trop efficace (et nous trop incultes !) - pour être captivant ! Et paradoxalement, on a l'impression de revoir le premier épisode, l'effet de surprise en moins. Et lorsque le scénario se risque à quelques "innovations" on tombe dans le cliché ou l'absurde. L'ensemble reste assez plat, sans invention, très convenu, déjà vu .... C'est distrayant sans plus !
LA bonne surprise c'est Helen MIRREN ; l'actrice qui incarnait la Reine Elizabeth II, est aux antipodes de sa royale composition et elle est épatante. Et on retrouve aussi Ed HARRIS, qui après quelques années discrètes revient en force depuis "A History of violence" et tout dernièrement "Gone baby gone".
Et dire que "la page 47" ouvre l'opportunité d'un troisième numéro ...... mais c'est une autre histoire ....