Un petit tour dans le vaste Monde, une pause dans une salle de spectacles, un détour par la cuisine ou auprès du sapin de Noël ... deux ou trois créations … Bienvenue chez moi , agréable visite, et n'hésitez surtout pas à laisser un commentaire. Pour être informés des articles récents, n’oubliez pas de vous abonner. A bientôt.
Aujourd’hui, une grande journée nous attend encore, même si nous n’avons pas de longs trajets à faire ! Pas de valises à déposer devant la porte, nous restons à CHAING MAI jusqu’à demain.
La ville de CHIANG MAI est, nous l’avons appris hier, très moderne et dynamique. Elle a une université, un musée des Beaux-Arts, mais aussi des parcs, zoo et arboretum.
Nous sommes, ici, à une altitude d’environ 300 mètres, nous allons visiter un temple situé à 1053 ! 13 km de virages nous mènent au temple PHRATHAT DOÏ SUTHEP. Le temple a été construit par les moines, mais ils ont aussi aménagé la route qui y conduit ainsi qu’un monumental escalier de 306 marches ! L’ensemble étant financé par les dons des fidèles. Depuis l’état a repris la gestion du temple.
Paradee nous explique la vie monastique, complètement différente de celle des moines catholiques. Il ne s’agit pas d’un engagement à vie. L’homme peut décider de consacrer un certain temps à la vie de moine et retourner ensuite à la vie civile, à sa famille, sa femme, ses enfants. A partir de 20 ans, il peut changer de vie ; il rase sa tête, porte la toge orange, et entre en apprentissage ; il ne doit plus avoir de relations sexuelles, ni approcher les femmes (les tentatrices !!), il ne doit pas boire d’alcool. Ce sont les fidèles qui vont assurer sa subsistance désormais, il ne mendie pas mais reçoit les offrandes des fidèles (qui font une bonne action en lui donnant à manger, ce qui contribuera à leur progression vers le nirvana !).
Le moine mange deux fois par jour, le matin et le midi, ensuite qu’il n’a droit qu’à des boissons.
Il doit un respect strict aux huit préceptes de la religion : ne pas tuer, voler, mentir, abstinence sexuelle, pas d’alcool, ne pas manger après-midi, pas de frivolités (musique, chant, danse, bijoux, parures, fleurs), il doit se tenir aux places inférieures assis ou allongé.
Il est fréquent que de jeunes garçons, de 7 – 9 ans, soient novices, le plus souvent ils sont issus de familles pauvres qui offrent à leurs fils la possibilité de vivre dans le temple, d’y recevoir une bonne instruction, leur ouvrant, parfois, la possibilité d’aller à l’université. En aucun cas les enfants peuvent être contraints, parents et enfants doivent choisir ensemble cette voie spirituelle.
Les femmes aussi peuvent être religieuses, elles se rasent la tête, portent une toge blanche, mais elles n’auront pas à chercher leur nourriture.
Nombreux sont ceux qui, chaque année, s’engagent dans cette vie, presque tous les hommes en font l’expérience quelques mois dans leur vie, gagnant ainsi quelques grades vers le grand mérite, mérite qui rejaillit sur sa famille.
Bon, alors … ce nouveau temple … ??? En 1386, un moine, après une vision, apporte au roi de CHIANG MAI Ku Naone deux reliques miraculeuses de Bouddha (la légende dit qu’il s’agirait d’une seule et même relique qui se serait dédoublée quand on l’a placée dans le premier chedi du WAT SUAN DOK!). Le roi décide de construire un temple digne d’une telle relique, le premier os est donc enterré sous le stûpa, le deuxième est placé sur le dos d’un éléphant blanc qu’on laisse déambuler, quand il s’arrêtera le lieu sera désigné. L’animal s’exécute, monte la colline et meurt en haut du mont Doi Suthep. La messe est dite (oups !!) c’est là qu’il faut construire le temple et y placer la précieuse relique… mais les versions divergent quant aux reliques … tantôt il s’agit de deux cheveux, tantôt d’une vertèbre, parfois d’un cheveu et d’une vertèbre …
On s’arrête, au pied du fameux escalier de 306 marches, encadré par Naga !!! Heureusement nous allons prendre le funiculaire pour monter visiter le fameux temple WAT PHRA THAT DOI SUTHEP (de son vrai nom WAT PHRATHAT DOI SUTHEP RAT WORA WIHAN, « doi suthep » signifiant tout simplement « la montagne Suthep » … pourquoi faire simple !).
Là où le bus nous dépose se trouvent de nombreux vendeurs d’offrandes, de souvenirs, le « produit phare » sont des petites clochettes que les fidèles vont accrocher une fois arrivés dans le sanctuaire.
En quelques minutes nous arrivons sur une terrasse assez déroutante, il y a plein de niches, de statues … hindouistes !! dans un joyeux fouillis très coloré et très fleuri, un magnifique bougainvillier ou des cascades d’orchidées rendent cette placette particulièrement jolie.
Puis voici l’entrée du temple, un simple escalier qu’on repère car il faut se déchausser pour y monter. On arrive alors devant le grand chedi de 24 mètres de haut, recouvert de plaques d’or qui brillent au soleil et encadré de quatre ombrelles de dentelle de cuivre. Un petit muret délimite la partie réservée au pèlerinage des fidèles, nous circulons librement dans le reste de l’espace … encombré de petits sanctuaires, statues, … et touristes !! Le temple est l’un des plus fréquentés du nord du pays par les fidèles … mais ce sont surtout les groupes de touristes qui ralentissent la circulation.
Nous faisons le tour du chedi (partiellement en rénovation), entouré de petits pavillons aux toits multiples, chacun terminé par un Naga. Clochettes et lampions terminent la chatoyante décoration de ce sanctuaire.
Ici encore, les statuettes de Bouddha sont alignées le long du chemin, la plupart du temps il est assis en position victorieuse, mais il est en bois, en bronze, doré, coloré …. Les inspirations sont variées ! on croise aussi des Bouddha debout, couchés, il y a même une statue en verre vert rappelant le Bouddha d’émeraude qui est à BANGKOK. Cette profusion est étonnante ! Un peu lassante, certes, mais captivante aussi ! On a envie de tous les photographier …
Un espace est aussi dédié au roi, plus modestement honoré ! Paradee nous a expliqué la codification des drapeaux, le premier (bleu, blanc, rouge) est celui de la Thaïlande, le deuxième (jaune) est celui lié au roi, il est de la couleur de son jour de naissance (chaque jour ayant une couleur qui lui est attachée (ainsi qu’un dieu et une planète : lundi = jaune, le dieu Chandra, la Lune – mardi = rose pour Mangala, Mars – mercredi = vert pour Bouddha, Mercure – jeudi = orange, Brihaspati, Jupiter – vendredi = bleu, Shukra, Vénus – samedi = violet, Shani, Saturne – dimanche = rouge, Surya, le Soleil)
Il faut aussi aller voir les fresques sur les murs de la galerie d’enceinte du temple, elles racontent la vie de Bouddha.
Nous mettons une bonne demi-heure à explorer ce temple, nous allons ensuite découvrir le reste du site et ses différents degrés, jolies statues … dont celle de l’éléphant blanc à l’emplacement où il aurait été enterré ; petites fontaines, grosses cloches … petites clochettes ; d’autres petits temples, espaces de dévotion et d’échange avec les moines.
Ce site est particulièrement vivant, la luxuriance de la végétation et la profusion de décorations le désacralisent, c’est un joyeux va-et-vient, un centre de vie bourdonnante.
Nous reprenons le funiculaire pour la descente. J’essaie d’aller photographier les fameuses têtes de Naga de l’escalier … mais l’opération s’avère très difficile, tous les touristes veulent prendre la pose devant … qu’il s’agisse d’un clic rapide ou d’un shooting sans gêne !
Nous prenons maintenant la direction de l’école de cuisine où nous allons apprendre à réaliser des plats thaïs … et les déguster pour notre déjeuner.
Il était donc prévu que nous allions faire le marché pour nous approvisionner, mais il semble que la présence d’un groupe étranger sème un peu le désordre et que, finalement les courses ont été faites sans nous, un gros gain de temps pour tout le monde !!
Deux plats seront au menu : un pad thaï, un plat de nouilles sautées avec des légumes et du poulet ; et un khao-soi, un plat traditionnel du Nord composé de nouilles aux œufs avec du poulet, du lait de coco et du curry.
Pour nous rendre dans cette école, située hors de la ville, dans la montagne, nous allons encore prendre des taxis collectifs, les songthaeos. Ils nous déposent à l’école de cuisine thaïlandaise Mama Noi après une dizaine de minutes de trajet.
Nous entrons en traversant le joli potager de l’école fait de carrés d’herbes aromatiques et de légumes. On reconnait d’impeccables touffes de ciboulette, ciboulette chinoise (ma préférée !), de la coriandre en buissons entiers, de la citronnelle, des piments, des aubergines, des poivrons … et la fameuse fleur « papillon » qui donne le colorant bleu !
Voici maintenant notre espace de travail, de grandes tables nous attendent, recouvertes de cloches de couleurs. Il y a des postes de cuisson avec de grands woks, prêts pour le service.
Sous la houlette d’une « enseignante », Paradee nous présente les ingrédients que nous allons utiliser : soja, échalotes, pâte de crevette ou de curry, tofu, combava, citronnelle, bergamote ….
Nous sommes ensuite répartis en trois groupes de 12 personnes ! Notre petit groupe est dirigé vers un espace un peu isolé, au bord de l’eau. Une toute jeune fille se présente à nous, elle va nous guider dans notre cuisine. Elle nous distribue des tabliers et nous invite à aller nous laver les mains, puis nous prenons place.
Devant nous, nous avons chacun : une épaisse planche à découper, un couteau-hachoir et deux plats recouverts de cloches colorées. Sous la cloche rose, le « kit pad thaï », sous la bleue les ingrédients du « kit khao-soi ». Nous préparons les aliments avant de passer côté cuisson, un couple par feu-wok.
Nous commençons par le riz gluant qui accompagnera la mangue déjà découpée sur une assiette, puis les woks sont remplacés par des propres, et nous attaquons le khao soi, cuisson, assaisonnement … Dernière préparation, le pad thaï, on fait cuire dans l’huile chaude les différents ingrédients. Toutes ces cuissons dégagent un parfum … appétissant !!
Et voilà, l’atelier a commencé à 11h25, à 12h15 nous sommes tous prêts à nous régaler. Pour accompagner notre repas, nous commandons des boissons, sodas, bières … l’eau est offerte.
Verdict !! tout est très bon … et copieux !! Nous sommes tous des chefs !! Quelle expérience géniale !! Ludique, éducative, vraiment plaisante et bien organisée ! On s’est tous bien amusés, dans une bonne ambiance.
Après le repas, nous repartons, tous satisfaits … à des degrés différents selon l’accompagnateur … nous sommes tombés sur la perle, et avons eu la chance d’être un peu en marge des autres qui étaient regroupés dans un brouhaha gênant semble-t-il ! et des conditions pour cuisiner bien moins agréables que les nôtres !
Pour la suite de l’après-midi, Paradee propose deux options, ceux qui le souhaitent la suivent dans la visite d’ateliers de bijoux et de soie, les autres seront raccompagnés à l’hôtel. Nous sommes une vingtaine à choisir l’artisanat.
Nous commençons par la « Gems Gallery », un immense atelier de fabrication de bijoux … et surtout de vente de bijoux !!! Un court film nous est proposé, présentant le travail … et surtout les magnifiques résultats obtenus !!! Des bijoux somptueux ! Enormes, très originaux … De la joaillerie d’art ! Puis présentation de pierres précieuses, et d’ouvriers au travail. C’est très décevant, rien dans ces gestes qui fasse rêver, les joaillers n’ont pas l’air emballés par leur travail !!! On ne voit sortir aucune pièce digne d’intérêt. On peut ensuite déambuler dans les innombrables rayons, ayant à choisir parmi des milliers de modèles de toutes tailles, couleurs, styles, prix …
Nous repartons une heure plus tard, direction l’atelier de soie de "Thai Silk Village".
L’exposition est plus intéressante, on y retrouve le cycle du ver à soie, avec démonstration de l’extraction du fil du cocon. Ça nous rappelle la Chine ! On voit aussi les ouvrières sur les métiers à tisser.
Mais quand on passe côté boutique, là encore c’est très décevant, pas beaucoup de choix et les modèles en vente ne nous séduisent pas.
Fin de la visite à 15h40, on prend maintenant la direction du marché de Nimmanhaemin, présenté comme le marché branché de la ville de CHIANG MAI.
La ville, deuxième du pays rappelons-le, est très dynamique. Elle s’est dotée de centres commerciaux avec les enseignes internationales et de luxe (H&M, Lacoste, Starbuck …), à côté de l’hôtel nous avons le centre Maya, très populaire avec ses salles de cinéma. CHIANG MAI, par son patrimoine culturel attire beaucoup de touristes, mais elle a aussi été popularisée, en Chine, par un film situé dans ses rues … ce qui a généré un nouvel afflux d’une nouvelle sorte de touristes !!!
Nous voici donc arrivés au marché de Nimmanhaemin, le marché créatif, à la mode, à l’atmosphère jeune et vivante !
Sur la petite place, c’est le marché aux fringues de seconde main, il y a de tout et surtout pas deux articles identiques, c’est le paradis de la fripe, plus c’est improbable, ou importable, mieux c’est !!!
Les petites rues adjacentes ont beaucoup de charme et on y voit bien l’ambiance « bobo branchée » … avec de nombreux ateliers créatifs, petits bijoux, vêtements sacs, chapeaux, mais aussi bibelots et meubles.
Il y a de la couleur partout, c’est très joli, très agréable de flâner dans ces recoins. On tombe sur un « temple », stèle de dévotion où une femme vient déposer un bouquet… rien à voir avec Bouddha, c’est une statue de Ganesh, le dieu éléphant !!
Etonnant encore, ce magasin dédié au durian ! ça me surprend toujours ! En glace, en crème, en smoothie … mais bon, le durian reste du durian !! Avec son odeur infecte et sa mauvaise réputation !
Mais ici il a la cote pour preuve ce marchand ambulant … un peu à l’écart et sa roulotte de fruits bien emballés, à côté un marchand de mangues … je suis déjà plus adepte !
Pour retourner vers la place nous empruntons une galerie commerçante très agréable, des enseignes connues, des stands plus typiques, tout un coin restauration, très orientée vers la bouffe chinoise, les canards laqués pendent un peu partout, les enseignes sont en chinois.
A l’heure convenue nous retrouvons le groupe. Nous reprenons le bus pour quelques mètres jusqu’à l’hôtel.
Paradee nous donne rendez-vous pour le diner … un repas spectacle des danses traditionnelles … pour lequel nous allons manger assis les pieds dans une fosse !!! ça promet !!! en tout cas ça interpelle tout le monde !
Voici donc le restaurant, « Benjarong Kantoke » ! Nous sommes accueillis par un groupe de musiciens.
Avant d’entrer dans la salle nous devons nous déchausser (décidemment !!). Et donc …. Les tables sont mises presqu’à même le sol ; pour nous installer, nous devons nous mettre par terre et glisser nos jambes, dans une fosse, sous la table ! On n’a jamais vu un truc pareil ! Ceux pour lesquels la posture serait trop acrobatique peuvent diner sur des tables normales, mais plus éloignées de la scène. Tout le monde s’installe sans trop de mal.
Nous allons participer à un dîner Kantoke, un élément du patrimoine culturel de la région de CHIANG MAI. Le repas permet de découvrir la cuisine traditionnelle des provinces du Nord, il est servi sous forme de nombreux petits plats variés à partager (ils sont prévus pour quatre !), et pendant que nous les savourerons nous assisterons à un spectacle de danses et musiques traditionnelles présentées par différentes tribus montagnardes de CHIANG MAI.
Arrive le fameux khantoke, le plateau rond en bois sur lequel sont placés les différents plats, c’est effectivement coloré et convivial. Nous avons … un sac de riz gluant, du riz normal nous est aussi proposé, il y a des nouilles sautées croustillantes (comme à midi), du poulet frit, un ragoût de poulet, du chou cuit, des morceaux de concombre, ce qui ressemble à une purée de piments. Chacun se sert, goûte, expérimente !
Le spectacle commence dès le début du repas, on nous a distribué un feuillet présentant les différentes danses avec quelques explications. La première danse est typique du Nord, elle s’appelle « Fonleb », elle se pratique à l’occasion de fêtes ou cérémonies particulières ; les jeunes danseuses portent des ongles démesurément longs qui rendent leurs gestes très élégants.
Le numéro suivant est assuré par des hommes. « Klong Sabat Chai », une danse ponctuée par les tambours pour encourager les soldats, insistant sur la grâce et la force du danseur qui synchronise ses mouvements avec le son de l’instrument.
Voici une nouvelle danse des femmes, rythmée, festive et joyeuse, elles dansent en manipulant habilement des petites bougies enflammées.
Maintenant c’est un homme seul qui vient, armé de sabres. « Fon Dab », « dab », le sabre utilisé autrefois pendant la guerre. Il les fait tournoyer, les maintient en équilibre, sans se blesser ! Désormais considérée comme un art martial, cette danse est donnée au moment des fêtes.
Revoici les femmes, dans un costume léger, c’est une danse du nord-est de la Thaïlande, joyeuse, alerte, les jeunes femmes jouent avec des coques de coco, c’est « Seung Kapo », kapo voulant dire « coque de coco ».
La danse suivante est spectaculaire. « King Kaala », l’oiseau mythique de l’ethnie shan. Les costumes sont magnifiques, les femmes très belles, ce moment est merveilleux, plein de poésie ; on est tous charmés.
Arrive maintenant une bête bizarre, une sorte de lama, bête à cornes facétieuse ! Après quelques pirouettes il va dans la salle glaner câlins et billets !!
Pour le tableau suivant, les jeunes filles ont revêtu leurs costumes traditionnels. Elles dansent deux par deux, « Rabam Keb Beicha », je crois, une danse représentant la culture des tribus montagnardes lors des travaux dans les champs de thé. Elles se reposent et dansent pendant que les feuilles sèchent.
Et voici la dernière danse, « Ramwrong », une danse développée par les nationalités pendant la Deuxième Guerre Mondiale. C’est une danse facile à danser qui a sa place dans les moments festifs. Les danseuses nous invitent à les rejoindre …. De notre groupe, un seul ose sauter le pas ! Bravo Joël !! 😊
Et voilà, à 21 heures, le khantoke est fini, nous nous rechaussons et partons accompagnés par les musiciens.
Nous allons terminer la soirée au marché nocturne de CHIANG MAI.
C’est très chouette, il y a de très nombreux exposants, et aussi beaucoup de chalands … et pas seulement des touristes !! Marchands de babioles, t-shirts, vêtements, fameux petits savons sculptés, bijoux, dessins, des éléphants en tissu, des petits objets en noix de coco … et aussi bien sûr beaucoup de street food … le thaïlandais passe sa vie à manger, Paradee n’a pas tort !!
Je fais un petit film de l’ambiance, et en passant des jeunes gens me font un petit signe sympa !!! Décidément ce pays est vraiment hospitalier !
Et voilà encore une belle journée qui se termine ! Et toujours le même enthousiasme de notre part !!
Aujourd’hui, nous avons parcouru 80 km … et marché 5 km
Demain, nous irons à la rencontre des ethnies montagnardes. Visite d’un village, découverte de leurs habitats, mode de vie et artisanat … et repas chez l’habitant ! 😊
Ce circuit est trop riche ! Que metttre en avant après une telle journée ??!!
Au top du top je mets quand même l'expérience "initiation à la cuisine thaïlandaise", un pur bonheur !! Ludique et pédagogique, dans une ambiance de franche camaraderie ! ... et qu'est-ce qu'on s'est régalés !!! 😄
Mais, bien sûr, impossible de ne pas retenir le temple ! Quelle merveille ... encore !!!
Et ce dîner kantoke !!! Pour l'atmosphère, et la beauté des danses ! Un beau spectacle, très dépaysant.
.... et les marchés !!! J'allais oublier les marchés d'aujourd'hui, pourtant bien agréables !
HOLIDAY GARDEN HOTEL & RESORT, pour une deuxième nuit.
Pour le déjeuner : MAMA NOI : .... je n'y reviens pas !!! mais .... "c'est moi qui l'ai fait !"
Pour le dîner : BENJARONG KANTOKE : pour l'expérience "KANTOKE", pas une folie gastronomique, mais le cérémonial et le spectacle valaient vraiment le déplacement, une belle expérience.